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Politique

Nicolas Sarkozy souhaite l’abrogation des lois de la théorie de la relativité

Face à la pression de la frange la plus conservatrice de son électorat, Nicolas Sarkozy a annoncé qu’il allait demander une réécriture voire une abrogation des lois génériques de la relativité. Des lois scientifiques votées dans les années 30 par le Parlement et qui seraient alors remises en cause. Reportage.

Publié le

 mar 


Les lois de la relativité font encore peur, presque cent ans après leur découverte. Nicolas Sarkozy le sait, s’en est emparé et en a fait son nouveau cheval de bataille. « Il faut un vrai débat national autour de ces questions qui remettent en cause la temporalité de notre quotidien » a affirmé l’ancien président. « On a volé le débat que le peuple français aurait dû avoir sur ces lois » a-t-il martelé. « Je n’aime d’ailleurs pas le terme de relativité, il y a une forme de relativisation, de relativisme qui me fait peur » a-t-il ajouté.

Découvertes au début du XXème siècle, ces lois sont aujourd’hui grandement acceptées par la société française. Lors d’un dernier sondage IFOP, près de 95% affirmaient adhérer aux lois de la relativité. « Il faut reconnaître que tout est allé trop vite, nous avons besoin de réfléchir aux conséquences de ces lois sur l’avenir de nos enfants » a souligné Nicolas Sarkozy, justifiant pour cela l’intérêt suprême de la France. « Ces théories sont enseignées chaque jour dans les écoles de France aux enfants du peuple de France ! Un enfant pourrait construire un portail temporel accidentellement et détruire l’univers». Cependant les spécialistes estiment que le cataclysme pourrait être beaucoup plus localisé et ne concerner que notre galaxie.

« Abrogation ! Abrogation ! »

C’est devant un parterre d’opposants à la théorie de la relativité que Nicolas Sarkozy s’est engagé. Des partisans très déterminés qui hurlaient « Abrogation, abrogation ! ». Les spécialistes physiciens estiment peu probable une réécriture des lois d’Einstein mais l’ancien président est sûr de son droit. « Si ces lois ne sont pas bonnes, nous devrions les réécrire ou les abroger pour aller de l’avant ».

La Rédaction

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