Politique

La France se rend sans conditions à la Bretagne

Face à la gronde grandissante qui agitait depuis plusieurs jours la Bretagne et qui menaçait de se propager au reste du pays, la France et son gouvernement ont signifié, ce jour, à 12 heures (heures de Paris) qu’elle se rendait, sans conditions, à toutes les demandes et exigences de la Bretagne et de ses alliés, avec effets immédiats et parfois rétroactifs.

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Face à la gronde grandissante qui agitait depuis plusieurs jours la Bretagne et qui menaçait de se propager au reste du pays, la France et son gouvernement ont signifié, ce jour, à 12 heures (heures de Paris) qu’elle se rendait, sans conditions, à toutes les demandes et exigences de la Bretagne et de ses alliés, avec effets immédiats et parfois rétroactifs.

Le gouvernement français, par la voix de son Premier ministre a signifié l’arrêt total des opérations et le retrait global des forces en présence, sonnant un retour significatif en arrière. « Il faut savoir admettre quand une bataille est perdue. Je veux remercier nos hommes qui ont été courageux mais le courage n’a pas suffi ». La suite de la déclaration du Premier ministre n’a pu être audible, couverte par les joyeux chants des partisans et patriotes bretons qui avaient pacifiquement envahi l’hôtel Matignon.

Avant d’être amené à Brest pour y être présenté à la foule, avec l’ensemble du gouvernement, le Premier ministre a aussi demandé la plus grande mansuétude envers les forces françaises encore stationnées en Bretagne et promis leur rapatriement dans un délai fixé lors de l’accord. Le président français, habilement en voyage à l’étranger, n’était pas joignable dans l’immédiat. « Je suis fier d’avoir servi mon pays, je n’ai pas de regret, je suis prêt à assumer mes actes devant la justice » a expliqué le Premier ministre, sur le point de partir en captivité, avant de, à nouveau, reculer.

La Rédaction

Photo: iStock

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