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5 souffre-douleur du collège qui ont mieux réussi que vous

5 souffre-douleur du collège qui ont mieux réussi que vous

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1- David Douillet (photo)
Il se faisait martyriser par le fils d’un forain qu’on appelait « Nino ». Nino lui faisait des « shampoings » en lui frictionnant la tête avec le poing et lui criait en même temps dans l’oreille : « Alors Douillet, t’es douillet ?! » (il n’était pas très fort pour les vannes percutantes). C’est grâce à Nino que David Douillet s’est mis au judo et qu’il a eu cette carrière que tous les députés de droite lui envient.

2- Christophe Dechavanne (photo)
Tout le monde l’appelait « le merdeux » au collège, parce qu’il s’était fait dessus en classe de 6e. Tout a commencé ce jour où le petit Christophe ne s’est pas bien réveillé le matin et s’est endormi en classe de mathématiques. Il a alors rêvé qu’il allait aux WC, et c’est à ce moment-là que le drame s’est produit. L’histoire a fait le tour du lycée Jules Ferry d’Issy-les-Moulineaux. La classe dans laquelle il a déféqué porte aujourd’hui son nom.

3- Jean-François Copé (photo)
Il voulait que tous ses copains l’appellent « Jeff » mais ça n’a jamais fonctionné. A la place, il devait donner son en-cas de 10h tous les matins à un jeune d’origine maghrébine qui s’appelait Rachid. Jean-François Copé a ainsi donné près de 500 pains au chocolat tout au long de ses quatre années de collège.
Il a juré qu’il se vengerait.

4- Omar Sy (photo)
Omar Sy se faisait martyriser par tous les grands du collège parce qu’il ne savait pas danser. « Il était nul ! » lâche un des anciens, encore mécontent des prestations d’Omar, plus de 20 ans après les faits. « Alors on l’insultait et on le forçait à danser sur du Michael Jackson. Il n’a eu que ce qu’il mérite ». Omar Sy raconte à ce propos qu’il a très mal vécu la scène de danse dans Intouchables car cela le ramenait directement à ces années de moqueries et de harcèlement : « J’ai fait semblant, et puis je suis rentré chialer comme le petit souffre-douleur que j’étais ».

5- Patrick Bruel (photo)
Malheureusement pour lui, Patrick Bruel avait attiré l’inimitié d’un groupe d’enfants en raison de sa voix un peu éraillée. Les enfants l’attendaient chaque soir à la sortie du collège et lui infligeaient des prises aux noms exotiques comme « le croc-en-jambe », le « missile drop-kick » ou la « german supplex ». Heureusement, le petit Patrick a déménagé et il a pu, comme tous les souffre-douleur, mentir sur son passé, pour repartir sur de bonnes bases.

Photo: By Marie-Lan Nguyen – Eget arbejde, CC BY 3.0,  By Georges Biard, CC BY-SA 3.0, By Georges Biard, CC BY-SA 3.0, 

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