Economie

Ivre, il investit dans une startup montée par une femme

SPONSO – Le magazine Forbes a même décidé de réserver sa prochaine une au malheureux avec le titre de « pire investisseur de l’année » et la mention « l’abus d’alcool est dangereux pour la santé de l’économie mondiale »

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Mais que s’est-il passé dans la nuit du 26 au 27 septembre 2019 ? Après une courte nuit à fêter le départ en retraite de son principal associé, un homme d’affaires a vécu un réveil difficile en découvrant au petit matin, sans doute sous l’effet de l’alcool et des mélanges, avoir investi plusieurs de centaines centaines de milliers d’euros dans une entreprise gérée par une personne de sexe féminin.

Pourtant l’investissement semble avoir porté ses fruits, l’entreprise bénéficiaire affichant une augmentation de 400% de son chiffre d’affaire et entraînant la création de plusieurs dizaines d’emplois sans aucune explication rationnelle. Malgré ces bons résultats, l’homme d’affaires dit aujourd’hui être la victime de harcèlements en devenant la risée des réseaux sociaux. « Beaucoup de chefs d’entreprise m’envoient des commentaires moqueurs sur mon dernier investissement » explique-t-il dépité et roulé en boule dans une couverture tout en montrant un gif arborant le message « ahaha ! Loser ! » envoyé par plusieurs comptes personnels de plusieurs patrons du CAC40 et de la FrenchTech.

Il faut dire que son investissement semble sonner comme une aberration pour de nombreux spécialistes en économie. « Les quelques rares études qui ont pu être menées jusqu’à aujourd’hui s’accordent pour affirmer que miser sur des startups fondées par des femmes laisse planer un risque d’effondrement de toute l’économie mondiale et d’un retour du communisme à grande échelle » explique un économiste missionné par l’université de Harvard pour réévaluer les conséquence de cet investissement sur l’économie française.

En attendant leurs résultats, les chercheurs de Harvard, recommandent de revenir à des méthodes de management plus traditionnelles en remplaçant l’alcool par de la cocaïne lors des prochains pots de départ qui auront lieu sur le territoire français.

Selon une étude Sista/Boston Consulting Group qui se penche sur les conditions d’accès des femmes au financement de leur startups, les femmes ont 30% de chances de moins de lever des fonds que les hommes.

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