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Société

Bayer Monsanto rachète le stock d’armes chimiques syrien

La société spécialisée dans la chimie et l’alimentation vient de déclarer son vif intérêt pour le stock d’armes chimiques syrien. La firme américaine demande expressément l’arrêt de leur utilisation sur les civils puisqu’elle affirme vouloir développer plusieurs projets autour de l’utilisation du gaz sarin dans l’agriculture.

Publié le

 mar 


Le président de la firme américaine Hugh Grant est venu en personnes tenir une conférence à Saint Louis, au siège de la firme américaine. L’homme déclare vouloir remettre la main sur le stock de produits chimiques dont il était lui-même propriétaire il y a dix ans. « Nous avions vendu en 2001 notre stock de matières premières servant à l’élaboration du gaz qui nous restait sur les bras à Bashar al-Assad en lui faisant un bon prix ». Le chef d’entreprise déclare aujourd’hui vouloir saisir l’opportunité de poursuivre ses recherches « Monsanto propose à la communauté internationale de la débarrasser de ce stock militaire indésirable et d’en faire un usage civil afin d’apaiser définitivement les tensions ».

Derrière les négociations se cache le projet « purification » en sommeil depuis plusieurs années et qui semble avoir été réactivé suite aux récents événements en Syrie. Il se veut comme une solution définitive aux problèmes des parasites dans l’agriculture intensive. « Nous connaissons les effets irrésistibles et dévastateurs du gaz sarin sur les organismes vivants, Monsanto propose de sublimer ses effets pour le bien-être de l’humanité » s’enthousiasme le président de la société.

Parmi les champs d’application, la firme américaine propose une utilisation agricole, médicale ainsi que dans le domaine des cosmétiques. « Ces produits sont une solution radicale et pour le traitement des parasites les plus résistants, puisque nos tests prouvent que 100% des formes de vies animales et végétales ne survivent pas à un contact avec le gaz sarin. Nos scientifiques cherchent toujours un moyen de rendre les aliments comestibles après un tel traitement » déclare le président de la firme américaine.

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