Politique
5 choses que vous n’avez absolument pas envie de savoir sur Jordan Bardella
Vous êtes las de la posture de Jordan Bardella et de ses discours vides de références intellectuelles ? Il est donc temps de vous révéler 5 choses que vous n’avez absolument pas envie de savoir sur lui.
1/ Il est très fort pour faire des bulles avec un Malabar
D’après le candidat, c’est parce qu’il s’est « entraîné en mâchant de la ferraille au cours de son enfance modeste en Seine-Saint-Denis ». Pour lui, c’est la preuve que « quand on veut on peut ». Il ajoute : « Je soupçonne tous les gens qui ne savent pas faire de bulles d’être des feignasses ou des communistes, ce qui revient au même. »
2/ Il a longtemps été chanteur dans un groupe de ska
Dans ce groupe baptisé « Jamaican style », le guitariste n’était autre que Louis Aliot chez qui il a tout de suite senti « une super good vibe ». Jordan Bardella admet toutefois préférer désormais le reggae. Son grand regret est d’ailleurs de ne jamais avoir achevé l’écriture de ce qui aurait pu être « un énorme tube » : « Free Babylone rasta man ! »
3/ Sa mère est fan des Feux de l’amour
De son côté, il préfère « Plus Belle la Vie » pour « le jeu d’acteur » et la « crédibilité du scénario ».
4/ Il connaît la table de 8 « sur le bout des doigts »
Mais uniquement de 1 à 6. Il s’était promis d’apprendre 7×8, 8×8 et 9×8 avant la fin de l’année 2024 mais il a dû mettre ce projet entre parenthèses à cause des élections européennes.
5/ Il sait faire les pâtes « al dente »
Il prononce d’ailleurs cette phrase avec un accent italien parfait, à faire pâlir de jalousie un serveur de chez Pizza Pino. A noter qu’il est également favorable à la peine de mort pour les amateurs de pizza à l’ananas, ce qui expliquerait l’écart entre lui et Valérie Hayer selon Brice Teinturier, le directeur général délégué d’Ipsos.