Politique
Eric Ciotti prend la fuite en accrochant 30 000 ballons au siège des Républicains
Refusant de démissionner de son poste de président des Républicains, Eric Ciotti a surpris tout le monde en utilisant des milliers de ballons pour faire décoller le siège du parti et fuir hors des radars. Récit.
Il est 11h lorsqu’un bruit assourdissant se fait entendre en pleine rue de Vaugirard. “On a d’abord cru à un attentat ou à une chanson de Grégoire” nous raconte Estelle, encore sous le choc. “Mais d’un coup, ce sont des milliers de ballons multicolores qui ont commencé à sortir par chaque fenêtre du siège des Républicains. Des bleus, des jaunes, des mauves, ça n’arrêtait pas” poursuit-elle hallucinée. D’après les dizaines de témoins présents sur place, quelques minutes plus tard, c’est tout le bâtiment qui se serait aussitôt mis à trembler avant de s’élever progressivement dans les airs. “Toutes les canalisations ont commencé à péter les unes après les autres.” nous confie Jean-Michel, un voisin. “Puis le bâtiment a continué de s’élever vers le ciel… 50 mètres…80 mètres… 130 mètres…” poursuit-il, avant d’ajouter : “C’est là qu’on à vu Eric Ciotti ouvrir une fenêtre à l’étage. Il a hurlé “Salut les losers” avant de faire un bras d’honneur et de partir à toute berzingue en surfant sur un courant chaud.”
24 heures plus tard, les services de renseignement continuent de traquer tant bien que mal le bâtiment disparu. Selon nos informations, la dépendance LR aurait été aperçue posée sur une falaise en pleine Guyane vénézuélienne. Eric Ciotti quant à lui se trouverait en compagnie de Valérie Pécresse, accidentellement restée sur le perron au moment du décollage, mais également d’une sorte de dodo accro au chocolat et d’un labrador qui parle baptisé affectueusement “Bardella”. Une situation inédite dans l’histoire de la 5ème République qui, selon Laurent Wauquiez, devrait avoir un impact considérable sur la suite de la campagne.
Un acte de haute trahison qui a vivement fait réagir en France mais également à l’internationale puisque le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a accusé la France de plagiat, en déclarant “qu’utiliser des milliers de ballons pour envoyer des ordures par delà les frontières, c’était avant tout son idée.”
Illustration : Shutterstock