Politique
Fact-check : Michel Barnier a-t-il vraiment enregistré Marine Le Pen dans son répertoire sous le nom “ma vie” ?
La rumeur a pris de l’ampleur sur les réseaux sociaux avant d’être relayée par certains médias traditionnels. Mais qu’en est-il vraiment ? Pour vous Le Gorafi démêle le vrai du faux.
S’il s’avère que Marine Le Pen est bien enregistrée dans le répertoire téléphonique de Michel Barnier et qu’elle figure même dans le “speed dial” du Premier ministre, celui-ci ne l’aurait pas surnommé “ma vie” mais simplement “Marine <3” afin de la différencier de ses homologues, un surnom nettement plus sobre que “ma vie” “Elle” ou “Choubidoubidou” comme le laissaient entendre certains détracteurs.
Pourtant la cheffe du RN occupe une place bien importante pour le Premier Ministre puisque celui-ci lui aurait attribué une sonnerie personnalisée – “I will always love you” de Whitney Houston – et aurait même renseigné ses coordonnées comme personne à contacter en cas d’urgence pendant la visite médicale à Matignon précédant sa prise de fonction.
Du côté de Marine Le Pen, en revanche, aucun surnom affectueux n’aurait été attribué au Premier Ministre, celle-ci l’ayant simplement baptisé “le vieux qui va bientôt partir” dans son répertoire.
-
SociétéIl y a 2 semaines
Le dentiste qui posait des questions à ses patients pendant leur détartrage enfin radié
-
EconomieIl y a 2 semaines
Black Friday : Après avoir acheté une tondeuse à -50%, il recherche désormais un jardin
-
SociétéIl y a 1 semaine
Pourquoi votre ami expert en crypto est toujours locataire d’un studio ?
-
PolitiqueIl y a 6 jours
Manuel Valls s’introduit à Matignon après qu’un employé a laissé une fenêtre ouverte
-
TransportsIl y a 2 semaines
Top 5 des organes à vendre pour financer vos trajets en train à Noël
-
PolitiqueIl y a 2 semaines
Pour réduire le déficit, Emmanuel Macron accepte d’être payé en visibilité
-
PolitiqueIl y a 6 jours
Gojira participera à la cérémonie de destitution du gouvernement Barnier
-
PolitiqueIl y a 6 jours
Emmanuel Macron s’engage à reconstruire Michel Barnier à l’identique « d’ici 5 ans »