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Economie

Les personnes qui touchent le RSA devront désormais se faire tatouer “je suis un vilain assisté” sur le front

Selon le ministère de l’économie, cette mesure a pour but de décourager les méchantes personnes qui souhaiteraient profiter des aides de l’Etat.

Publié le

 mar 


Après l’annonce dès 15h d’activités obligatoires minimum par semaine dans le cadre de la loi pour le plein-emploi, c’est désormais le tatouage “je suis un vilain assisté” que devront porter sur le front les bénéficiaires du RSA. Interpellée, la ministre du travail s’est voulue rassurante : “Évidemment, nous n’allons pas demander aux allocataires de payer le tatouage directement… Il sera simplement imputé sur leurs allocations le mois suivant la réalisation du tatouage. C’est moins douloureux quand on n’a pas à sortir l’argent.”

Pour justifier la mise en place de cette nouvelle mesure, le gouvernement explique qu’elle est nécessaire dans le cadre d’un retour à l’emploi pour le plus grand nombre : “On avait deux solutions : soit favoriser les embauches dans les entreprises, avec des salaires attractifs, des conditions de travail décentes… Mais si on commence à faire ça, c’est quoi la suite ? Payer les heures supplémentaires ? Interdire le harcèlement au bureau ? Autoriser les salariés à aller aux toilettes sur leur lieu de travail ? Ce n’est pas une solution viable !”. La ministre du travail poursuit : “L’autre solution, qui nous a paru plus efficace, est donc celle de l’humiliation et de l’esclavagisme, qui a déjà fait ses preuves de nombreuses fois”.

Une nouvelle mesure qui en appelle d’autres

Après les 15h d’activité et le tatouage, d’autres devoirs pour les bénéficiaires du RSA devraient voir le jour prochainement : ils devront par exemple baiser les pieds des conseillers Pôle-Emploi à chaque rendez-vous, ou encore, remplacer un week-end par mois, les sanitaires dans des festivals… “Notre premier objectif, c’est le retour à l’emploi pour tous les Français, sauf pour les politiciens évidemment, qui doivent être exempts de tout travail, car c’est comme ça. Notre second objectif est de voir jusqu’où ces gros glandeurs sont capables d’aller pour grappiller quelques euros. Il faut bien qu’on se divertisse aussi !” a déclaré un porte-parole du gouvernement.

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